Des études récentes ont révélé que les kényans ont « peu d’accumulation d’ammoniac dans leurs muscles à cause de la combustion des protéines et de l’accumulation d’acide lactique. Ils ont plus d’enzymes musculaires qui brûlent les graisses, et leurs réserves de glycogène ne sont pas brûlées aussi rapidement, ce qui améliore l’endurance. »